LE CHEVAL DANS L’ART, DU PALEOLITHIQUE A NOS JOURS
Cycle de 3 cours, animé par Lucile CAUSSE, historienne de l’art et guide conférencière.
Mardi de 10 h à 12 h, auditorium du Grand Nord.
Pour un groupe de 100 personnes Sous réserve d’un nombre suffisant de participants
4 mars |
11 mars |
18 mars |
Sculptée il y a près de 40 000 ans, la petite figurine de cheval sauvage découverte en 1931 dans la grotte de Vogelherd (Allemagne) est l’une des plus anciennes représentations de ce bel équidé connue à ce jour en Occident. Elle pourrait constituer le point de départ d’un immense corpus d’œuvres d’art consacrées au cheval, animal le plus représenté de l’histoire de l’art, source inépuisable d’inspiration, sujet de sculptures, peintures, dessins, gravures, photographies, films, installations et performances artistiques.
De la grotte de Lascaux aux Salons officiels, de Bucéphale à Crin-Blanc, des enluminures médiévales au Guernica de Pablo Picasso, des statues équestres aux chronophotographies, des champs de bataille aux chasses à courre, de Léonard de Vinci à Rosa Bonheur, en passant par les visions fascinées de Théodore Géricault, le voyage ne connaîtra pas de frontières.
EXPOSITIONS aux Calvairiennes
Julie C. Fortier va nous faire découvrir des associations de couleurs, textures mais surtout des odeurs qui n'ont pas de frontières, qui se dissipent dans l'espace et s'infiltrent dans nos pores. Cette artiste plasticienne et parfumeuse construit à la Chapelle, un paysage immersif dans lequel le corps transperce et transporte les odeurs.
Louise Hochet et Mathilde Monjanel nous dévoilent une partie des pièces nées de leurs rencontres (décors, broderies, films super 8...) : Une rétrospective de leurs dix dernières années de création tout en entrecroisant leurs récits à ceux des habitants du territoire. Mathilde est réalisatrice sonore et comédienne tandis que Louise est plasticienne et costumière
Elise Perol réalise des paysages de fils sur son métier à tisser : peinture sur soie, ou végétaux glanés, ses jardins- textiles sont sculptés de pleins et de vides traversés par le souffle et la lumière. L'artiste mêle architecture et nature.
Maxime Verdier dessine l'invisible, mélange le rêve à la réalité. Il nous invite à un étrange voyage au cœur de notre imagination. Phénomènes chimiques ou esprits malins, d'étranges petites flammes colorées apparaissent dans l'obscurité et guident nos esprits vagabonds.